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Solidarité bruxelloise : du plus pauvre au plus riche !

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Evolution des transferts financiers intra-bruxellois entre flamands et francophones

Solidarité bruxelloise : du plus pauvre au plus riche !




Les transferts financiers sont au cœur des négociations institutionnelles qui patinent depuis plusieurs mois. On discute énormément des transferts Nord-Sud au travers des projets de modification de la loi de financement. On discute également des transferts entre les différentes entités francophones (Région Wallonne, Communauté française, Cocof) au sein du groupe Wallonie-Bruxelles. Etonnamment, personne ne s’est jamais intéressé aux transferts financiers intra-bruxellois entre les institutions représentant les francophones (Cocof) et les flamands (VGC) de la capitale.

C’est aujourd’hui chose faite puisque le FDF publie une étude qui analyse l’évolution des droits de tirages (soit les moyens financiers allant de la Région vers la Cocof et la VGC) depuis 1993 à aujourd’hui. Les conclusions de cette étude sont plus que surprenantes lorsqu’on analyse l’évolution des transferts financiers parallèlement à l’évolution de la population francophone et flamande de Bruxelles : à Bruxelles, la solidarité va du plus pauvre au plus riche !

Pour vous présenter les résultats de cette étude rigoureuse et inédite, Emmanuel DE BOCK (député FDF) et Michel COLSON (député et Secrétaire général du FDF) sont heureux de vous inviter à une conférence de presse qui se déroulera ce



Mardi 22 mars 2011 à 11 heures
Adresse du jour
Parlement Bruxellois – 9e étage (groupe MR-FDF)
Rue du Lombard 57
1000 Bruxelles




Contact presse : Jean-François Leconte (0497/59.99.49) – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

ACS : une répartition inéquitable et partisane

ACS : une répartition inéquitable et partisane
Le Ministre Cerexhe attribue même des ACS…  au SP.A fédéral

A la suite d’une question parlementaire posée dernièrement, et dont la réponse a été publiée dans le Bulletin des Questions et Réponses n°15 page 120, le 15 février dernier, le député MR-FDF Emmanuel De Bock a réussi à décoder la politique des emplois ACS (agents contractuels subventionnés) financés par la mission 16 du Ministre de l’Emploi Cerexhe.

Il faut savoir que l’ensemble de la politique de l’emploi représente 273 millions € dont 169 millions € (62%) couvrent en réalité le financement des ACS. En clair 62% des moyens budgétaires du Ministre Cerexhe sont consacrés au cofinancement de 9.171 personnes tandis qu’il ne reste plus que 38% restants pour les 105.000 autres demandeurs d’emploi… soit pour ces 105.000 demandeurs d’emploi moins de 988 € par an par demandeur (18 fois moins proportionnellement).
Il est intéressant de se pencher sur l’évolution de ces ACS depuis 2004, et leur répartition totalement inéquitable. Ainsi, entre 2004 et 2010, le nombre d’ACS totaux est passé de 7.893 à 9.171 soit une croissance de 16%. Dans le même temps, les budgets consacrés aux ACS ont crû de 35% passant de 125 millions € à 169 millions € ! En moyenne, un poste ACS représente en 2010 environ 18.430 € contre 15.854 € en 2004.
L’ensemble des ACS sont répartis d’une part entre les communes et les CPAS (25%) et d’autre part, entre un certain nombre d’acteurs et opérateurs, asbl, … (75%).


Les 19 communes reçoivent en 2010 environ 19% de ces ACS régionaux contre 15 % en 2004. Les 19 CPAS ont reçu un peu moins en 2010 soit 5,2% de ces ACS régionaux contre 6,4% en 2004.
2010


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Si l’on procède à l’analyse de la répartition de cette première tranche de 25% d’ACS entre les 19 communes et CPAS, on remarquera quelques communes privilégiées et d’autres étrangement moins…

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« La Communauté métropolitaine de Bruxelles est un piège »

Olivier Maingain : « La Communauté métropolitaine de Bruxelles est un piège »

Interrogé par les journalistes de « La Libre » et du « Soir », Olivier Maingain a clairement rejeté l’idée d’une communauté métropolitaine récemment évoquée pat certains. Ces deux interviews sont publiées ce 1er mars.

“Cette Communauté métropolitaine est un piège », explique le président des FDF qui estime que les négociateurs francophones devront clairement parler des limites de Bruxelles. Ce qui n’exclut pas que les FDF sont disposés à accepter un compromis. Comme en 2005.

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Bienvenue au nouveau président des Jeunes FDF, Patrick de Mûelenaere, et à son équipe


Réunis en assemblée générale ce vendredi 25 février, les Jeunes FDF ont désigné leurs nouveaux président et conseil d’administration pour 2011-2014. Désormais, les jeunes du parti pourront compter sur la compétence, la disponibilité et la sympathie de leur nouveau président, Patrick de Mûelenaere, et de son équipe.

« Jeune FDF impliqué dans l’équipe depuis quelques années, j’ai découvert jour après jour l’incroyable potentiel de l’outil ‘Jeunes FDF’ au service de nos valeurs. Soucieux d’utiliser cet outil au maximum de ses capacités et convaincu qu’il n’y a qu’en s’investissant qu’on peut défendre ses idées, je m’engage, avec mon équipe, à défendre jour après jour les idées qui sont chères aux Jeunes Fédéralistes démocrates francophones et à sensibiliser la jeunesse à ces idées : respect des droits de l’homme et du suffrage universel, solidarité Wallonie-Bruxelles, liberté individuelle dans un esprit de solidarité entre tous les citoyens, refus de toute discrimination, implication citoyenne de tout un chacun, et notamment des jeunes… ». C’est ce qu’a déclaré Patrick de Mûelenaere lors de la présentation de son équipe.

On se souviendra qu’Emmanuel De Bock, président sortant des Jeunes FDF, avait annoncé dès sa prestation de serment en tant que député bruxellois qu’il quitterait anticipativement ses fonctions à la tête des Jeunes FDF. Au terme d’une procédure interne, il passe le flambeau à Patrick de Mûelenaere qui a remercié son prédécesseur en ces termes : « Au nom de l’ensemble des Jeunes FDF, je tiens à souhaiter à notre député bruxellois le plus grand succès dans ses actions futures et à le remercier pour le dynamisme, la persévérance et la présence continue dont il a fait preuve pendant ces nombreuses années. Merci aussi pour l’expérience qu’il m’a permis, à titre personnel, d’acquérir à ses côtés dans l’équipe sortante. »

Conscient des nombreux défis que l’équipe devra relever au cours de ces trois ans, le nouveau président des JFDF a tenu à s’entourer d’une équipe motivée et dynamique, composée pour partie de personnes déjà investies dans l’équipe précédente, mais également de nouveaux qui apporteront leur regard neuf sur les actions que les Jeunes FDF entreprendront. Cette équipe compte par ailleurs des représentants bruxellois, de la périphérie et des Wallons, symboles de l’importance que les Jeunes FDF entendent accorder à la création d’une véritable fédération Wallonie-Bruxelles unissant le destin des Francophones.

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Du pays basque à la périphérie : le respect de la volonté des populations !



Le Président des FDF, Olivier Maingain, relève que la N-VA cherche à se donner du crédit à l’étranger, faute de convaincre les Wallons, les Bruxellois et les démocrates qui dénoncent le nationalisme comme une menace pour la démocratie.

A l’occasion d’un rassemblement de forces nationalistes basques, la N-V.A a, semble-t-il, découvert le principe démocratique de la libre disposition des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Heureuse découverte qui devrait avoir un prolongement en périphérie de Bruxelles car aucune autorité ne peut disposer du sort des populations contre leur gré. Les 150.000 Francophones de la périphérie ne se considèrent évidemment pas comme appartenant au peuple flamand. Leur sort ne peut dès lors être lié à celui de la Flandre. Il reste donc comme seule issue pour résoudre le problème du tracé arbitraire de la frontière linguistique que de consulter les populations concernées pour savoir de quel côté de la frontière elles souhaitent se retrouver.

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